[quote:58b09xr3]В Канаде в ходе парламентских слушаний по проекту документа о сексуальных преступлениях в отношении детей эксперты-психологи убедили парламентариев в том, что педофилия — это сексуальная ориентация.
Возразил этому только один член парламента.
Парламентские слушания касались вопроса о возможности внесения поправок в уголовный кодекс за сексуальные преступления против детей. Психологи, присутствовавшие на сессии в качестве консультантов, высказались, что педофилию нужно считать сексуальной ориентацией, такой же, как гомосексуализм и гетеросексуализм. Они аргументировали это тем, что педофилы совершают преступления против детей, поскольку предпочитают иметь сексуальные отношения исключительно с детьми, сообщает Likar.info.[/quote:58b09xr3]
На туфту похоже, но не могу проверить первоисточник. Как-то даже страшновато делать на работе поиск по таким ключевым словам
[quote="Siebel":256yddyf]В Канаде в ходе парламентских слушаний по проекту документа о сексуальных преступлениях в отношении детей эксперты-психологи убедили парламентариев в том, что педофилия — это сексуальная ориентация.
Возразил этому только один член парламента.
Парламентские слушания касались вопроса о возможности внесения поправок в уголовный кодекс за сексуальные преступления против детей. Психологи, присутствовавшие на сессии в качестве консультантов, высказались, что педофилию нужно считать сексуальной ориентацией, такой же, как гомосексуализм и гетеросексуализм. Они аргументировали это тем, что педофилы совершают преступления против детей, поскольку предпочитают иметь сексуальные отношения исключительно с детьми, сообщает Likar.info.[/quote:256yddyf]
[b:25cbi1pp][i:25cbi1pp]Эпиграф:[/i:25cbi1pp][/b:25cbi1pp] [i:25cbi1pp]не нада читать русских газет и русский тырнет[/i:25cbi1pp].
Итак, после прочтения этой сенсационной новости, гуляющей уже по всему рунету, закрались смутные подозрения.
Вместе с гуглом мы вот что нашли:
Судя по статейке, речь идет вот об этом законопректе
Projet de loi C-54 Loi modifiant le Code criminel (infractions d’ordre sexuel à l’égard d’enfants)
[url=http://www2.parl.gc.ca/Sites/LOP/LEGISINFO/index.asp?Language=F&Chamber=N&StartList=A&EndList=Z&Session=23&Type=0&Scope=I&query=7138&List=stat:25cbi1pp]тыц[/url:25cbi1pp]
РЕЗУМЕ:
1. Цель законопроекта- ужесточить наказания за сексуальное насилие над детьми. Так как сейчас примерно 80% не получают даже минимального наказания. Хотят ввести обязательное минимальное наказание за любое сексуальное насилие над детьми.
2. Как и для любого другого законопроекта, организуется комитет, который будет изучать этот вопрос и выслушает желающих высказаться. На одном из заседаний и выступал психолог, который обратил внимание на то, что нельзя грести всех секс. Агрессоров под одну гребенку. Есть много под-категорий. И привел пример о педофилах (в оригинале, правда, ее слова выглядят несколько по-другому, чем в рунете). Смысл его высказывания был в том, что есть тюремное заключение, есть терапия. В случае педофила, которого постоянно тянет на детей (и эта тягу можно сравнить с секс. Ориентацией), терапия, ясный пень, ничего не даст.
Профессор просто пытался донести мысль, что обчество сексуальных агрессоров состоит из многих под-видов. И хорошо бы, при назначении минимального обзяательного наказания (цель закона см. в предыдущем параграфе), это бы учитывалось. Но, он сам говорит, что не знает как это можно сделать.
3. И, наконец, после того как комитет, выслушав всех заинтересованных лиц, предоставил рапорт, в 3 чтении было сказано, что несмотря на все высказывания, сексуальная эксплуатация ребенка- эта тяжкое преступление. И так оно и должно рассматриваться.
Для особо любопытных ниже цитаты и офицальные ссылки, на основании которых и было сделано мое скромное резуме:
[quote:25cbi1pp]1. Monsieur le Président, je suis très heureux d’entamer le débat à l´étape de la deuxième lecture du projet de loi C-54, Loi modifiant le Code criminel (infractions d’ordre sexuel à l’égard d’enfants), également connu sous le nom de Loi sur la protection des enfants contre les prédateurs sexuels.
Le projet de loi C-54 donne suite à l’engagement pris dans le discours du Trône de 2010, visant l’alourdissement des peines applicables aux infractions d’ordre sexuel à l’égard d’enfants.
…..
Les mesures proposées dans le projet de loi C-54 ont deux objectifs: premièrement, veiller à ce que toute forme d’exploitation sexuelle des enfants, quelle que soit l’accusation portée, soit toujours considérée comme une infraction grave lors de la détermination de la peine; et deuxièmement, prévenir la commission d’infractions sexuelles à l’égard des enfants.
…
Le projet de loi C-54 viendrait modifier la loi pour faire en sorte que toutes les infractions sexuelles à l’égard des enfants soient passibles d’une peine minimale obligatoire. Certains croient peut-être que cet écart est pertinent en pratique, pensant que, dans la majorité des cas d’abus sexuel d’enfants, l’auteur est accusé d’une infraction sexuelle à l’égard d’un enfant et donc passible d’une peine minimale obligatoire. Malheureusement, ce n’est pas le cas.
……
Du point de vue de la détermination de la peine, ces données signifient que dans 81 p. 100 des cas d’agression sexuelle d’enfants rapportés en 2008, le tribunal n’a imposé aucune peine minimale obligatoire.
Je reconnais que certains diront que cela importe peu, puisque sans égard au point de départ, la peine imposée doit, en bout de ligne, refléter les faits et les circonstances propres à chaque cas et doit toujours dénoncer la violence sexuelle à l’endroit des enfants et avoir un effet dissuasif.
À notre avis, cela ne suffit pas. Le gouvernement et la majorité des Canadiens estiment qu’il faut dénoncer vigoureusement l’exploitation sexuelle des enfants et que les mesures dissuasives doivent avoir du mordant et se refléter constamment dans les peines imposées, quel que soit le cas. Par conséquent, dès le départ, il faut imposer une peine d’emprisonnement, non une peine d’emprisonnement avec sursis ou de détention à domicile, comme on la désigne parfois.
Voilà la première mesure que le projet de loi C-54 propose pour assurer une certaine constance. Le projet de loi propose d’imposer une peine minimale obligatoire dans le cas de toutes les infractions d’ordre sexuel dont la victime est un enfant. Le projet de loi C-54 propose d’ajouter des peines minimales obligatoires à sept types d’infractions qui ne sont actuellement pas assorties d’une peine minimale obligatoire.[/quote:25cbi1pp]
[url=http://www2.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?Language=F&Mode=1&Parl=40&Ses=3&DocId=4848134&File=0#SOB-3624471:25cbi1pp]тыц[/url:25cbi1pp]
[quote:25cbi1pp]2. M. Hubert Van Gijseghem (psychologue et professeur titulaire (retraité), Université de Montréal, à titre personnel):
Je vais d’abord me présenter brièvement pour asseoir ma crédibilité. Je m’appelle Hubert Van Gijseghem. Je suis psychologue depuis 1963. J’ai obtenu mon doctorat en psychologie en 1970. J’ai mené de front deux carrières parallèles: une carrière d’universitaire à l’Université de Montréal et une carrière de praticien.
Comme professeur à l’université, j’ai évidemment eu l’occasion d’enseigner et de faire de la recherche. La plupart de mes recherches ont porté sur les abus sexuels, aussi bien du côté des victimes et des conséquences sur les victimes que du côté des auteurs de tels sévices. Comme praticien, toute ma vie, j’ai surtout été clinicien. Et en tant que clinicien, j’ai eu l’occasion de faire des traitements, là encore aussi bien auprès des victimes qu’auprès des auteurs d’abus sexuels.
Toutefois, dans les 15 ou 20 dernières années de ma carrière de praticien, je n’ai fait que des expertises psycholégales, c’est-à-dire des expertises pour plusieurs cours de différentes juridictions. J’ai eu l’occasion, comme mes collègues présents ici d’ailleurs, de faire plusieurs publications ainsi que quelques livres sur le sujet des abus sexuels.
On me propose de dire quelque chose d’intelligent sur ce projet de loi C-54 sur la protection des enfants contre les prédateurs sexuels et aussi de me pencher sur la question de la nécessité ou de l’utilité des peines d’emprisonnement obligatoires minimales.
J’ai lu le résumé législatif et je suis resté un peu bouche bée à la lecture de certains passages. Quand je lisais les arguments en faveur de telles peines d’emprisonnement et que je lisais les arguments contre ces peines, je me trouvais favorable à presque tous les arguments. Cela est probablement compatible avec le doute typique de l’être qui se croit scientifique.
Je ne suis pas un juriste. Je connais peu ou pas les lois, même les lois existantes. En outre, je connais peu la jurisprudence sur les abus sexuels. J’éprouve donc un peu de difficulté à donner une opinion sur la nécessité ou sur l’utilité des peines d’emprisonnement obligatoires minimales.
Par contre, je suis psychologue et je crois connaître, jusqu’à un certain point en tout cas, la population des abuseurs sexuels. Je sais aussi des choses sur leur dangerosité, sur les risques de récidive et sur les outils actuariels et autres dont mon collègue vient de parler. C’est du domaine de mes connaissances.
Une première chose que je voudrais souligner ici, dans cette affirmation de départ, est que la population des abuseurs sexuels n’est pas une population homogène. Il y a plusieurs types. Tous ceux qui ont tenté des typologies de la population des abuseurs se sont rendus compte qu’il y a en effet plusieurs sous-catégories qui ne sont pas nécessairement comparables.
Vu que cette population est hétérogène, il est difficile de prévoir des mesures automatiques ou uniformes. Si on regarde la recherche évaluative, parce que c’est finalement ce qui nous sort de la brume en ce qui concerne la dangerosité ou les risques de récidive, il y a deux types de recherche évaluative. Il y a la recherche évaluative faite par des promoteurs de programmes de thérapie. Très souvent, leurs résultats disent que la thérapie fonctionne et qu’elle présente un certain taux de succès. Toutefois, quand on regarde la recherche évaluative effectuée par des chercheurs indépendants, les résultats sont beaucoup moins optimistes.
Comme le disait déjà le Dr Quinsey, surtout pour les abuseurs extra-familiaux, il n’y a pas beaucoup de réhabilitation possible avant un certain âge, c’est-à-dire avant que l’âge lui-même fasse son oeuvre.
(1540)
Ces recherches évaluatives — et je pense à certaines recherches de mon collègue Quinsey et de son équipe ou à d’autres recherches de mon collègue Hanson, qui est ici présent avec son équipe — démontrent effectivement, surtout pour les abuseurs extra-familiaux, qu’il n’y a pas énormément d’amélioration du risque de récidive ou de la dangerosité, peu importe s’ils ont été soumis à une psychothérapie ou non. Et s’ils ont été soumis à une psychothérapie, le type de thérapie importe peu.
Cela nous fait dire que la thérapie ou l’ordonnance même de thérapie qui est prescrite par certains juges, même si elle est souvent vue comme une bonne nouvelle par tous, ne peut être perçue comme une alternative à une incarcération ni comme un substitut à la punition.
Quand on parle de thérapie ou quand un individu suit un programme de thérapie et qu’on pense que tout le monde est pacifié, cette bonne nouvelle relève souvent de l’illusion. Par exemple, il est vrai que les pédophiles réels ne constituent que 20 p. 100 de la population de tous les abuseurs sexuels. Si on sait que le pédophile n’est pas un individu qui commet un petit acte de temps à autre mais qu’il est aux prises avec l’équivalent d’une orientation sexuelle au même titre qu’un autre est aux prises avec une hétérosexualité ou encore avec une homosexualité, et si on s’entend sur le fait que le vrai pédophile a une préférence exclusive pour les enfants et que cela est l’équivalent d’une orientation sexuelle, tout le monde comprendra qu’il ne peut être question de vraie thérapie. On ne changera pas son orientation sexuelle. Il peut évidemment toujours rester abstinent.
Pensons par exemple aux psychopathes, qui comptent également dans mes propres échantillons pour 15 p. 100 de la population des abuseurs sexuels. Il y a, là aussi, lieu de se rendre compte que cela fait des centaines d’années, sinon des millénaires, qu’on tente en vain, pour l’instant du moins, de les réhabiliter.
Bien sûr, tout ce que je viens de dire laisse aussi entrevoir qu’il y a probablement des abuseurs sexuels ou des types d’abuseurs sexuels qui sont réhabilitables. Mais lesquels? Est-ce la majorité? Je ne suis pas certain que ce soit la majorité, mais puisque certains abuseurs sont presque certainement peu ou pas réhabilitables et que d’autres le sont, cela nous met devant la nécessité de faire, tôt ou tard, un diagnostic différentiel sérieux pour déterminer lesquels sont réhabilitables.
Est-ce que cela est faisable? Est-ce que c’est trop coûteux en temps, en efforts ou en argent? Je ne le sais pas. Il y a peut-être quelque chose à faire avec les évaluations présentencielles. J’ai vu beaucoup d’évaluations présentencielles et, personnellement, je suis souvent resté sur ma faim. Est-ce qu’un pays peut se payer des évaluations présentencielles beaucoup plus approfondies et élaborées? C’est probablement à vous d’en décider.[/quote:25cbi1pp]
[url=http://www2.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=4959361&Language=F&Mode=1&Parl=40&Ses=3:25cbi1pp]тыц[/url:25cbi1pp]
[quote:25cbi1pp]3. Dans le cadre de son examen du projet de loi C-54, le Comité permanent de la justice et des droits de la personne a accueilli toute une gamme de témoins, dont des membres de groupes de victimes, des agents de police, des universitaires, des psychologues et des associations de criminalistes. Certains d’entre eux s’opposaient aux peines minimales. D’autres auraient préféré des peines minimales plus sévères et d’autres encore appuyaient les modifications proposées dans le projet de loi. Cependant, ils convenaient tous pour dire que l’exploitation sexuelle d’enfants est un crime grave qui devrait être traité comme tel. C’est justement le but du projet de loi.[/quote:25cbi1pp]
[url=http://www2.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?Pub=Hansard&Doc=144&Language=F&Mode=1&Parl=40&Ses=3#SOB-3806176:25cbi1pp]тыц[/url:25cbi1pp]
[b:269k64t8]Liska[/b:269k64t8], спасибо за раскрытие темы.
Не понимаю, кому в России нужны отрицательные стереотипы относительно Канады? Или это цена рекламы собственного СМИ? Тогда какой же уровень читателей этого СМИ?
[quote="Bjorkmann":20y7f7bs][b:20y7f7bs]Liska[/b:20y7f7bs], спасибо за раскрытие темы.
Не понимаю, кому в России нужны отрицательные стереотипы относительно Канады? Или это цена рекламы собственного СМИ? Тогда какой же уровень читателей этого СМИ?[/quote:20y7f7bs]
`
вэлкам.
это не уровень читателей- это уровень СМИ.
А читатели ничего другого не видели. Их даже и винить трудно.
Себя вспоминаю, тоже же читала похожую чушь и даже мысли не приходило, что может быть это не совсем правда.
[quote="Bjorkmann":1sse0evk][b:1sse0evk]Liska[/b:1sse0evk], спасибо за раскрытие темы.
Не понимаю, кому в России нужны отрицательные стереотипы относительно Канады? Или это цена рекламы собственного СМИ? Тогда какой же уровень читателей этого СМИ?[/quote:1sse0evk]
ну надо же удержать отток людей. Люди едут ради детей, по этому уязвимому месту и бьют.
Но я повелся частично, если честно…
[quote="Bjorkmann":1vv0is6m][b:1vv0is6m]Liska[/b:1vv0is6m], спасибо за раскрытие темы.
Не понимаю, кому в России нужны отрицательные стереотипы относительно Канады? Или это цена рекламы собственного СМИ? Тогда какой же уровень читателей этого СМИ?[/quote:1vv0is6m]
Уровень пофигу. Главный показатель интернет СМИ — посещаемость. Вот и пишут всякую ересь, только что бы людей заманить на сайт. Эта новость не направленна (на прямую) против Канады. «На ее месте мог быть каждый». Просто, авторы сайта, хотят создать резонанс и завлечь посетителей.
[quote="Bad":mmdbueal]
Уровень пофигу. Главный показатель интернет СМИ — посещаемость. Вот и пишут всякую ересь, только что бы людей заманить на сайт. Эта новость не направленна (на прямую) против Канады. «На ее месте мог быть каждый». Просто, авторы сайта, хотят создать резонанс и завлечь посетителей.[/quote:mmdbueal]
Обидно что ресурс не «желтый», а вполне уважаемы likar.info
Liska,
, а то я уж было подумала,
что в парламенте в связи с приближением
Луны начался отлив мозгов.
[quote="Bad":pewnr506] Главный показатель интернет СМИ — посещаемость. Вот и пишут всякую ересь, только что бы людей заманить на сайт.[/quote:pewnr506]
+1
На самом деле так и есть: всё гораздо прозаичнее чем мы думаем.
Мы тут спорим из последних сил, а они (СМИ) особо не напрягаются
главное выплеснуть чушь, а дальше само по себе пойдёт
причём чем тупее тем лучше (больше споров будет)
[quote="Liska":3l8e4adp][b:3l8e4adp][i:3l8e4adp]Эпиграф:[/i:3l8e4adp][/b:3l8e4adp] [i:3l8e4adp]не нада читать русских газет и русский тырнет[/i:3l8e4adp].
[/quote:3l8e4adp]
Самое интересное что даже в той первой цитате про сексуальную ориентацию, нигде не было сказано что педофилы будут приравниваться к геям. Мне например это было ясным и очевидным. А психологи просто поделились взглядом на ситуацию с медицинской точки зрения, чтобы можно было легче дать оценку и определить что делать.
спасибо что раскрыли тему для тех кто уже успел сделать поспешные выводы.
[quote="Gwen":1lkpyz5q][quote="Liska":1lkpyz5q][b:1lkpyz5q][i:1lkpyz5q]Эпиграф:[/i:1lkpyz5q][/b:1lkpyz5q] [i:1lkpyz5q]не нада читать русских газет и русский тырнет[/i:1lkpyz5q].
[/quote:1lkpyz5q]
Самое интересное что даже в той первой цитате про сексуальную ориентацию, нигде не было сказано что педофилы будут приравниваться к геям. Мне например это было ясным и очевидным. А психологи просто поделились взглядом на ситуацию с медицинской точки зрения, чтобы можно было легче дать оценку и определить что делать.
спасибо что раскрыли тему для тех кто уже успел сделать поспешные выводы.[/quote:1lkpyz5q]
Могут так всё запутать… Психология — не физика, здесь ничего не докажешь бесспорно. Например, «с медицинской точки зрения» воровство можно оправдать клептоманией. Говорят даже, что найдено нечто на генетическом уровне определяющее склонность к убийству.
Психологи — страшные люди.